Rencontre avec Romain Denis

RDRomain Denis est né le 15 ma1 1992 à Bonneval dans la Loire. Il a un grand frère de 24 ans, Alexis et une jeune sœur de 16 ans, Laura.

Comment se passent les premiers mois dans ta nouvelle équipe ?

« Depuis que j’ai quitté le pôle espoir de Tours, j’ai envie de retrouver le niveau national. Quand j’étais petit, j’allais voir la Nationale 3 de Chartres et je rêvais d’atteindre ce niveau. L’an dernier,  j’ai choisi Colomiers pour jouer en Pré-Nat, car il y avait une passerelle avec la N3 et j’ai travaillé dur pour y arriver. Le club m’a donné cette opportunité, je l’ai saisie »

Pensais-tu que ça arriverait aussi vite ?

« Pas du tout. La N3, c’est le niveau au-dessus. Une seule saison en pré-nat, ce n’est pas beaucoup,  Il a fallu précipiter l’intégration avec une nouvelle équipe, un nouveau coach, un nouveau style de jeu, de nouveaux systèmes. D’autant plus que je n’étais pas au club depuis très longtemps, à peine un an ! »

. Est-ce bien digéré aujourd’hui ?

« J’ai encore beaucoup de travail à faire aux entraînements et en match, mais je me sens soutenu par mes coéquipiers, qui savent que je n’ai pas évolué souvent à ce niveau. Plus le temps passe, plus je prends confiance .  Je vois que les gars me font aussi confiance. C’est une sensation agréable. Les adversaires ne me font pas peur et comme je travaille dur aux entraînements… »

Comment vis tu la concurrence en interne ?

« Pour moi, elle n’existe pas. Tout le monde est là pour s’entraider. Nous sommes une équipe soudée. Le groupe est sain et je tire profit de l’expérience de Robin Naval  pour appliquer ses conseils sur le terrain et m’améliorer ».

Quelle place occupe le basket dans ta vie ?

« A la découverte du basket, j’avais huit ans, ce fut un véritable coup de cœur. Le basket c’est un premier amour. La vie sans basket, ce n’est plus la vie ! Si on me demandait d’arrêter le basket, ce serait non ! »

Ton avenir ?

« Je suis trop jeune pour évoquer l’avenir. Je compte simplement jouer le plus longtemps possible. Je suis de la génération Tony Parker. Depuis tout petit, je suis fan et j’ai toujours voulu le prendre pour exemple. Je ne dois pas être le seul »